les enfants de France (Hexagone, Départements et Régions d'Outremer, Collectivités d'Outremer) et reste du Mondedes acteurs de La Courneuve et d’autres communes

31 janv. 2016

A propos du collectif.


         C’est sur fond gris, couleur du ciment qui empiète sur la Nature, que le collectif s’exprime, deux mois après sa création.

           Paix pour nos enfants s’intéresse à tous les enfants de France. L’un de ses hymnes est cette chanson de 1995, du groupe antillais Zenit’, que l’on peut écouter en cliquant sur le lien suivant :es qui ont des valeurs, qui ont envie de voir leurs enf       

            
          Les premiers signataires, qui forment la base du collectif, organisent des rencontres où ils voient des personnes qui ont des valeurs de solidarité, qui ont envie de voir leurs enfants, les enfants, dans un avenir paisible.

              Dire n’est pas faire : on peut dire des choses mauvaises pour ne pas passer à l’acte tout comme on peut dire de belles choses accompagnées de mauvaises actions. Alors, pourquoi ne pas faire dire les enfants ?      
           Lire c’est prendre des informations. Ces dernières doivent être empreintes de paix en ces temps où trop d’enfants de France sont tourmentés. Que plus d’enfants disent ce qui se fait de bien dans le pays en lisant sur nos visages !
           Ecrire c’est s’évader, c’est se libérer des chaînes qui maintiennent nos enfants dans des ghettos physiques et mentaux et ce, dans nos villes et nos campagnes. L’écriture de meilleurs lendemains se fait grâce aux personnes qui aiment les enfants pour de vrai dans les écoles, les associations et les autres structures : ces personnes sont nombreuses, elles sont là !

            Agir, c’est ce que fait et fera le collectif. Il le fera, on le fera, comme tous les collectifs  qui se sont organisés à travers le pays.
          Agir, c’est faire plus que parler. Paix pour nos enfants, grâce aux nombreux soutiens plus ou moins anonymes, se déplacera au sein des établissements scolaires et ailleurs.
 « Dire, lire, écrire » se fait dès la maternelle. On peut compter aussi. Par conséquent, les enfants et les parents peuvent compter sur ce collectif pour les aider à avancer.

            Avancer se fera par la force du nombre, par la force de l’expression. Le collectif ira à la rencontre des enfants, des préadolescents, des adolescents, des jeunes adultes, des parents et on se parlera sans avoir préparé de discours. C’est par la spontanéité que l’on insistera sur notre approche : valoriser celles et ceux qui vont au contact des enfants, des gens et qui s’adressent à ces derniers par d’autres biais qu’un écran, des écouteurs, des enceintes, des images, des écrits…

            Voir c’est mémoriser. Le collectif est donc visible et le restera. Un enfant qui voit plus de paix est un enfant qui deviendra peut-être agent de paix voire un adulte de bonne volonté.
         Sentir la dignité, ressentir l’apaisement, goûter aux savoirs  et aux cultures, entendre et écouter des paroles respectueuses, toucher l’espoir puis accéder au sixième sens qu’est cette intuition qu’il n’y a pas de fatalité : voilà en quoi consistera les échanges avec les enfants plus ou moins jeunes.

          Paix pour nos enfants est à vocation humaniste et à but non lucratif. Mettre en valeur l’humain, en particulier les enfants et leurs intérêts, n’a pas de prix : cela ne s’achète pas et ne se vend pas.

           Paix pour nos enfants est apolitique. Chacun vote pour qui il veut, pour ce qu’il veut, ou ne vote pas : cela n’est pas dans le champ d’action du collectif.

            Paix pour nos enfants est une organisation non confessionnelle. Chacun vit sa philosophie, sa spiritualité, sa religion, s’il en a une, comme il le souhaite en dehors du collectif.

            Paix, respect, continuité à toutes et à tous.

« C’est pour vous tous
C’est pour nous tous
Avançons avec courage, droiture et tolérance
Chacun de nous est unique
Chacun de nous est magique
Combien le réalisent ?
Et combien meurent trop vite ? »