Chanter
Chanter, pour oublier ses
peines,
Pour bercer un enfant,
chanter
Pour pouvoir dire « je t’aime »
Mais chanter tout le temps
Pour implorer le ciel
ensemble,
En une seule et même église,
Retrouver l’essentiel et
faire
Que les silences se brisent
En haut des barricades,
Les pieds et poings liés,
Couvrant les fusillades,
Chanter sans s’arrêter
Et faire s’unir nos voix,
Autour du vin qui enivre,
Chanter quelqu’un qui s’en
va,
Pour ne pas cesser de vivre
Oh oh oh
Je ne sais faire que chanter
Pour quelqu’un qui s’en va
Pour ne pas cesser de vivre
Chanter,
Celui qui vient au monde, l’aimer
Ne lui apprendre que l’Amour,
En ne formant qu’une même
ronde,
Chanter encore et toujours
Un nouveau jour vient d’éclore
Pouvoir encore s’en émerveiller,
Chanter malgré tout toujours
plus fort
Ne plus faire que chanter
Et faire s’unir nos voix,
Autour du vin qui enivre,
Chanter quelqu’un qui s’en
va,
Pour ne pas cesser de vivre
Oh oh oh
Je ne sais faire que chanter,
Pour quelqu’un qui s’en va
Pour ne pas cesser de vivre
Chanter, (chanter)
Pour oublier ses peines (oh oh
oh)
Pour bercer un enfant,
chanter
Pour pouvoir dire « je
t’aime ! » (je t’aime)
Chanter tout le temps (tout
le temps)
En haut des barricades, (oh oh
oh)
Les pieds et poings liés, (chanter)
Couvrant les fusillades, (c’est
clair)
Chanter sans s’arrêter
(chanter)
Et faire s’unir nos voix,
(oh oh oh)
Autour du vin qui enivre,
(chanter)
Chanter quelqu’un qui s’en
va, (qui s’en va)
Pour ne pas cesser de vivre
(cesser de vivre)
Oh oh oh
Je ne sais faire que chanter
Pour quelqu’un qui s’en va
(qui s’en va, qui s’en va)
Pour ne pas cesser de vivre
Chanter
Oh oh oh
Oh oh oh
Florent PAGNY