Cela n’a
échappé à personne, notre pays connaît une période particulièrement difficile à
l’approche des fêtes de fin d’année 2018 : actions des Gilets Jaunes,
revendications des lycéens, Marche pour le climat, mobilisations des femmes
contre les harcèlements etc.
Nous
sommes un grand et beau pays. Les prises de parole et les expressions de
révolte sont nécessaires. Encore faut-il en tenir compte pour assurer de
meilleurs trains de vie donc de meilleurs lendemains.
Je ne peux que m’élever contre les violences physiques envers
les personnes et les biens. J’ai moi-même été
révolté par le passé au point de vouloir tirer à l’arme automatique sur des
militaires qui me poussaient au suicide. Aujourd’hui, je suis encore révolté pour
les raisons que relatent des personnes qui vivent des précarités sans nom. Ces
derniers et leurs descendants sont heurtés dans leur dignité depuis trop
longtemps.
Je prends donc une
nouvelle fois mes responsabilités en publiant cet article et en affirmant haut
et fort que la France ne s’est pas réveillée ! En effet, elle n’était pas
endormie que je sache ! Les gens en difficulté étaient fondamentalement
concentrés sur le « mieux faire vivre les leurs et eux-mêmes en
acceptant de toujours plus se serrer la ceinture et la gorge ».
Aucun
dirigeant politique, aucun parti, aucun chef de grande entreprise, aucun influent ne peut
s’enorgueillir face aux revendications légitimes de droits qui sautent aux yeux
de l’Hexagone, de la France d’Outremer et du reste du Monde.
Nous
pouvons aspirer à mieux que des dégradations sociales, mentales et matérielles.
Nous le devons !
Avançons
avec courage, droiture et tolérance. Chacun de nous est unique. Chacun de nous
est magique. Combien le réalisent ? Et combien meurent trop vite ?
Il y a vingt ans, on entendait une chanson, lourde
de sens, que vous pourrez réentendre en cliquant sur l’extrait de paroles
suivant :